Nous sommes retournés sur Nantes, cette fois-ci au sec.
Quel plaisir de déambuler dans cette ville où j'ai vécu quelques années pendant mes études. C'était l'occasion de refaire les circuits que j'aimais: le quartier Bouffay pour la crêperie,
le passage Pommeray,
la "cigale" pour le chocolat chaud et le décor (euh sauf le rajout sur la table), et ces monuments qui, enfin, ont été restaurés:
si blanche au dessus des belles en noir,
la pointe si dépoussiérée.
Et le reste fut tactile. J'ai suivi le conseil de A la douce et nous sommes allés à l'exposition temporaire "Très toucher" du Musée d'histoire naturelle. L'exposition est extrêmement interactive en plus d'être très intéressante.
- le palais de l'homonculus sensitif avec la localisation des zones les plus sensibles du corps
- les sensations de souffrance avec des expériences de fakir, une nasse pleine de mystère (où il faut passer outre la peur de toucher) mais aussi les piquants du hérisson
- la sensibilité des doigts permettant le braille, la reconnaissance d'empreintes ou d'objet sans les voir
Nous en avons profiter aussi pour visiter les autres salles. Alors oui, ce n'est pas une nouveauté, la zoologogie non vivante (thanatopraxie, formolisation ou fossiles) est toujours un domaine de prédilection.
Nous en avons profité pour regarder les chauves-souris qui s'étaient faites si furtives un soir.
Nous nous sommes étonnés d'avoir plus peur d'une mâchoire d’hippopotame que de celle d'un crocodile et de s'extasier devant le squelette du serpent (je ne pourrais plus avoir de doute: le serpent est un vertébré!)
Mais chose nouvelle, nous avons aussi profiter de la salle de minéralogie et de géologie... les pierres brillent... j'y reviendrais.
Grâce à toi, j'ai voyagé dans cette ville que j'aime... merci, Vanessa
RépondreSupprimerFrancine: de rien, et moi j'ai pensé à toi sur Guérande (mon dernier billet) ;)
RépondreSupprimerL'expo. au muséum dure jusqu'en février, voilà une idée pour ma p'tite famille. merci et bravo pour ce blog formidable.
RépondreSupprimerFlo: de rien, de rien... et merci
RépondreSupprimer