lundi 28 décembre 2015

Rouge, jaune, rouge (ou rose) puis taupe... la Tour Eiffel

Avant de quitter la capitale, pour cause de déménagement. Avant de la quitter, pour cause de court séjour à l'étranger, nous sommes allés visiter la dame de fer. Avec quelques touristes, avec un guide pour voir les coulisses, avec des mouettes et des corbeaux.


Morphologie d'une dame, sorte de Vénus préhistorique en triangle (tête minuscule, seins larges et hanches énormes). Rouge sang comme ce qu'elle fut: une commémoration des 100 ans de la Révolution française.


Plus grande que la Statue de la liberté (pas encore offerte aux américains!) et de tous autres monuments européens. Restée en place après l'Exposition universelle pour ses valorisations des compétences en aéronautiques, en météorologie, en télécommunications. Restée grâce aux sous de Bonickhausen, dit Gustave Eiffel, pour 20 ans. Puis grâce à l'armée.


Mécanismes mis à nus. Poulies, pistons hydrauliques, chariots et voies ferrées dans chaque pilier pour les ascenseurs. Étage plateau de cinéma.


Tour Eiffel, triangle à 5 étages dont seuls les deux plus bas sont restés. Dernier étage offert par la suite.


Imaginée par des architectes et des ingénieurs. Symbole de la France, elle fut au départ très mal acceptée par la population, construite avec l'argent du peuple. Inaccessible par son prix de montée exorbité. Puis trop brillante avec son jaune éblouissant. Puis rose, longtemps parce que belle...
Magnifique point de vue.


Utilisée aussi pour la radio, pas informative, non, les journaux quotidiens s'en chargeaient... mais la musique.


Puis nous sommes repartis vers notre petite ceinture.


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