mardi 30 novembre 2010

Paf Paf le loup

J'aime beaucoup les loups... pour ce côté sauvage, pour avoir eu pendant des années à mes côtés un chien-loup directement venu de Laponie et qui ne connaissait pas les conventions d'un chien, parce que mon frère les a adoré très très longtemps...
j'aime beaucoup aussi ces marionnettes, ces déguisements pour enfants entre Peau d'âne, guerrier Vicking (ou du moins assez sauvage) sous une fourrure ou Max des maximonstres.

... et avant qu'il ne disparaisse derrière une page trop colorée et trempée... un "Paf, paf, paf le loup" de la publicité...

Paf ! Paf ! Paf ! Le loup !
envoyé par lachosebarkette. - L'info video en direct.

Parce que sans le savoir...

il a une place dans ma vie affective. Un don de lui, un regard franc et entier, une impression presque "familiale"

... Yannick NOAH, il a, en plus, cette chaleur humaine, ce dynamisme...
"La voix des sages"

lundi 29 novembre 2010

La créativité hebdomadaire... petits pas des Muses

La créativité a fuit un peu mes mains, je ne dessine plus, ne façonne plus, ne sculpte plus... Je laisse aller un cerveau bien embrouillé souvent. Je rêvais aussi de reprendre un côté plus "fantaisiste" mais aussi plus créatif à mon quotidien. Alors quand M comme maman a proposé un défi créatif hebdomadaire, "les Petits pas des Muses", je me suis lancée. Je participe depuis 3 semaines.
Il faut dire que "M comme Muses" a des arguments: elle est coach en créativité selon la philosophie Kaizen, elle offre au quotidien sur ses blogs de petites touches de fantaisie, des idées pour s'occuper les doigts, pour divertir l'esprit surchargé, pour satisfaire notre envie de se faire du bien.

Elle nous permet, par un mail incitateur et coachant, de rester maman, femme et de devenir de plus en plus créatrice... avec peu de moyen, peu de temps. Ou en prenant son temps. Elle en parle : "La créativité, c'est de pouvoir utiliser ses mots pour se faire du bien et pour aider les autres. La créativité, c'est oser embarquer dans un mouvement. La créativité, c'est aussi le partage. La créativité, c'est simple. Ça nous fait sentir vivant. C'est un lien qui nous unit." et ici.

Notre premier défi était de dire halte à la perfection, voici le résultat commun du groupe:

Perfection? Ce que les Muses en pensent... from Manon Lavoie on Vimeo.


et ma participation,

mes participations à tous les défis ainsi que celles des autres sont sur la galerie Flickr des Petits pas des muses ici.

dimanche 28 novembre 2010

Au début de l'avent danois

Nous avons bravé le froid, les transports en commun, les excitations des enfants... et les touristes pour aller vers la Maison du Danemark et surtout vers l'Église danoise à côté des Champs-Elysées.
Un bain de touristes avec appareil photo dans leurs moufles puis un bain de Danois avec quatre ou cinq francophones (j'exagère) au petit Marché de Noël danois.

*source calendrier de l'avent danois

Conviés par une danoise, la maman de l'ami du lutin, nous avons réussi à nous trouver une petite place, pour acheter et pour nous réconforter...
Sur des tables longues, une petite place, une chaise partagée par les deux mini-compères, des jus de pomme ou de l'eau, pour les grands du Schnaps et quelques Glögg (vin et porto chauds épicés aux amandes et raisins secs, entre autres) et pour tous à manger des Ebelskiver (sorte de crêpes/pancakes/gaufres en boule) servies fourrées ou nature à saupoudrer de sucre ou manger avec quelques confitures.

Et des piratos, à tester une seule fois dans sa vie. Ce sont des bonbons de réglisses très salés et, je crois, épicés : au premier abord c'est presque bon comme du caramel très très salé, après cela se complique avec un arrière goût très prenant. A bon entendeur!

Des tombolas pour enfants, avec des cadeaux ramenés: fourmi et scorpion géant pour l'un, grenouille crapaudée de l'autre et balles rebondissantes lumineuses pour les deux... des tombolas pour adultes avec la bouteille de Schnaps haut de gamme (celle qu'on ne trouve qu'au Danemark) remportée par un autre.

Et puis un retour sur cette artère de la capitale si touristique, avec énormément d'illuminations, des gouttes de lumières tombantes.... et des tonnes de touristes... les loupiots se donnant la main dans la poussette ou derrière les poussettes et les parents.


Un retour agité, des enfants morts de fatigue mais pas tant, des parents épuisés.

Dans nos affaires, des petites choses:
du côté des experts des bougies de l'avant, du chou-rouge rødkål et de la betterave cuits et vinaigrés, des frugtlagkage (sortes de génoise pour gâteaux)
de notre côté, une bougie de l'avant, des portes bougies/lanternes, un petit père-noël mais pas de décoration de noël du joaillier designer danois Georg JENSEN au beau métal et au ruban luxe de suspension (enfin pour cette année) et quelques gourmandises. Orangettes, massepain à 60% d'amandes (ren raa marcipan) et nougats au chocolat aux noisettes (gianduia nougat).
Mais nous étions arrivés presque trop tard, plein de décoration était déjà parti la veille.

vendredi 26 novembre 2010

Lire ou écrire, les sons en premier

... à quoi bon choisir qui sera le premier.

Je ne peux que suivre en cela les intuitions expérimentées de Maria MONTESSORI et être persuadée que l'écriture précède la lecture.
Les traductions de signes en sons ou de sons en signes sont des éléments que j'aime appréhender avec le lutin.

*source les sons sur les visages (lien pour les voir en grand)

Très tôt, avant l'acquisition de la parole, je babillais en plus de lui parler normalement sans trop mamaner. Et puis les ba, be , bi, bo, bu, bou, bin, boi, bé, bè arrivaient. Et maintenant pour appréhender l'écriture et la lecture, je reprends la phonétique et repars dans quelques séances de consonnes suivies d'une voyelle avec des éclats de rire du petit d'homme qui essaye de reprendre tous mes sons articulés si rapidement.

Et puis, comme une lecture du soir, je prends les livrets "Mon album des sons" de Caroline DESNOETTES et d'Isabelle D'HUY DE PENANSTER. Les petits livres reprennent la sonorité, proposent des mots qui l'utilisent et offrent le nom de la lettre et ses écritures. Écrits par une orthophoniste et un auteur/illustrateur, ces livres sensibilisent aux sons et permettent, peu à peu, de les reconnaitre. Les lettres écrites en rouge peuvent aussi être reprises au doigt par les enfants (comme des lettres rugueuses Montessori). Ces livres apprennent à entendre, des sons, des signes qui correspondent.
Nous avons commencé par "Lire les sons qui résonnent" composé par 5 petit livres pour découvrir 4 sons: mmm, nnn, lll et rrr. Mais il existe aussi "Lire les sons qui chantent: a, e, i, o, u", "Lire les sons qui soufflent: fff, jjj, ch, sss, vvv" et "Lire les sons qui claquent: ppp, ttt, ccc, bbb, ddd".

Et, lors de la lecture du soir, il arrive au petit d'homme de pointer son doigt sous la ligne de texte. Je suis alors son rythme pour lire ce qu'il m'indique. Il comprend peu à peu que tels signes sont un mot, une phrase. Il n'a pas encore de curiosité pour aller plus loin mais il aime beaucoup changer de rythme, lentement, mot à mot, puis très vite... avec quelques fois des envies de rire aux éclats en me proposant de lire, relire et re-relire le même mot. Il n'est pas question de lire encore, ni même d'écrire, juste de comprendre qu'il y a corrélation entre un signe écrit, une lettre, et un mot (et une histoire). J'avais récupéré cette belle proposition du livre "1001 activités autour du livre" de Philippe BRASSEUR dont je vous reparlais ici.

*illustrations des voyelles antérieures, postérieures ou nasales ici, ou . Il en manque encore 4. Et un tableau des consonnes ici

Et j'ouvre aussi les illustrations des "maisons des sons BOREL-MAISONNY" dont je vous parlais là, pour voir comment la bouche fait pour émettre les sons.

Et voici un alphabet qui parle. Des astuces d'orthophonistes ici et .

L'automne... la saison avant un Noël (danois ?!)

Le temps se refroidit. Les chocolats chauds se succèdent (recette du moment: 1 cuillérée à café de purée d'amandes blanches, du cacao, du piment doux, du gingembre, du sucre et de l'eau bouillante), les thés aussi... et à la maison, des mitaines, des chaussons et des écharpes quelque fois. Des livres, des livres encore, du chocolat à croquer et des tournesols partis.

Il a grêlé hier, neigé aujourd'hui.

Et nous continuons à prendre conscience des saisons... le lutin s'amuse avec ce jeu éducatif "Les saisons". Il y joue seul alors pas besoin de récupérer une carte de chaque saison mais un puzzle puis des cartes à repositionner sur la saison correspondante en exprimant ce qu'elles représentent: des champignons, des feuilles qui poussent, un enfant qui fait de la luge, des oiseaux qui ont leurs petits, des citrouilles etc... Des événements qu'il commence à connaître, un peu, un tout petit peu mais le puzzle du bas aide.
Notre poutre du temps n'est toujours pas installée, ni la poutre solaire... ni même le semainier... Je n'ai plus le temps de le préparer à la temporalité, nous attendrons l'année prochaine.

Et nous préparons les autres fêtes d'automne dont Noël. Un peu de décoration danoise que nous allons s'offrir en compagnie d'une famille semi-danoise...

*source Noël danois

Je commence à m'essayer aux cœurs danois avec des enveloppes (en annotant pour apprendre la méthode sans couteaux ni colle comme ici), en prévision de ceux que nous verrons demain et de ceux que nous ferons en famille le mois prochain.

lundi 22 novembre 2010

J'ai du vous le dire, je parle de livres jeunesse... ailleurs







"Le secret du soir" de Cécile ROUMIGUIERE et illustré par Eric GASTE
"Leçon de vol" de Sebastian MESCHENMOSER
"Gadji!" de Lucie LAND
"La vie juste à côté" de Anne MULPAS et illustré par Marjorie POURCHET
"Sur les traces des dinosaures" de Karine HAREL et illustré par Cécile GAMBINI
"Les mamans", "Les papas", "Les colères", "Ça fait mal la violence" et "Respecte mon corps" de Catherine DOLTO et Colline FAURE-POIREE et illustrés par Frédérck MANSOT
"Au coeur des émotions" de David SANDER, Sophie SCHWARTZ et illustré par Clotilde PERRIN
"Un look nature ! L'adaptation " de Eun-Ha KIM et illustré par Min-Cheol CHOI
"Le problème" d'Alice RICHARD (ou Pole KA)
"Le petit indien" de Charlotte ZOLOTOW et illustré par Leonard WEISGARD
"Le maître des estampes" de Thierry DEDIEU
« Les sciences naturelles de Mr Tatsu NAGATA, la baleine »
"Yapa, le petit aborigène" de Chrystel PROUPUECH
« Mei Hua, la petite chinoise » de Chrystel PROUPUECH
"Inventaire illustré des fruits et légumes" de Virginie ALADJIDI et illustré par Emmanuelle TCHOUKRIEL
"Dans sa tête" de Rémi COURGEON
"L'extraordinaire abécédaire de Balthazar"de Marie-Hélène PLACE et illustré par Caroline FONTAINE-RIQUIER
"Ogrus, histoires à digérer" de Grégoire KOCJAN et illustré par Pauline COMIS
"Petites bêtes en tout genre" de Philip ARDAGH et illustré par Mike GORDON
"L'enfant qui mangeait des margouillats" de Mercè LOPEZ
"Devine ce que j'ai trouvé au Bois des Dragons" de Timothy KNAPMAN et illustré par Gwen MILLWARD
"Le voleur d'enfants" de Mickaël ESCOFFIER et illustré par Clément LEFEVRE
"Gargouillis" de Nina BLYCHERT WISNIA
"Dans la tête de Monsieur Adam (ou comment naissent les histoires)" de Sigrid BAFFERT et illustré par Jean-Michel PAYET

dimanche 21 novembre 2010

Préparation à l'écriture

Les discussions parentales se suivent, se ressemblent ou se ressemblent moins. Mais pourquoi donc ne pas être conventionnelle dans les activités proposées au lutin ? Le papa souhaiterait que j'aille, aussi, vers des activités plus sur papier... écriture, dessin, coloriage.
J'ai du mal, beaucoup de mal.
D'une part car je ne fais que proposer les activités, le loupiot est seul à choisir (avec l'aide des cartes ou en allant directement les chercher dans sa chambre). Et que oui, je confirme ne pas le forcer, les devoirs du soir arriveront bien assez tôt.
Alors oui, il n'avait aucune envie de dessiner ou de colorier. Les choses ont un peu changé, par mimétisme à l'école mais aussi par modification des outils: les crayons de couleur apparaissent trop peu sur la feuille, il lui fallait des feutres, bien plus marqués (et plus grands).

Et le fait qu'un adulte appuie son contentement en découpant la forme lui donne une satisfaction complémentaire. Ce matin, 5 ou 6 petits bonhommes...

Et puis l'écriture...
Pourquoi ne pas lui faire faire des exercices sur son prénom ? Parce que j'avais devancé la demande du petit d'homme me conformant à la demande scolaire: apprendre à écrire son prénom entre la petite section de maternelle et la moyenne. Et parce que nos activités du soir sur son prénom avec les lettres rugueuses et les alphabets se sont raréfiées jusqu'à disparaître.
Parce que je ne suis pas pour les exercices de graphisme battons, cercles, lettres etc... je crois en cette conception de Maria MONTESSORI qui délimite le processus d'écriture comme une démarche psycho-physiologique de l'individu en train d'écrire et non une étude des différents éléments de l'acte d'écrire. Ainsi je voulais faire la démarche de préparation à l'écriture sans même mettre notre chenapan devant le stylo et la feuille.

Je reprends la préparation langagière à l'acte d'écrire.
Tous les jours, je lui lis des histoires, des textes simples et enfantins mais aussi des textes plus longs au vocabulaire plus complexe, aux phrases plus longues. Nous lisons et regardons aussi des documentaires sur des sujets qui l'intéresse. Il reprend ces figurines au cas par cas. Oui oui les documentaires sont très zoologiques, biologiques (le corps humain, l'acte de grandir) ou sur des abstractions (le temps, l'espace...).
Souvent, je prépare des cartes de nomenclatures en m'aidant des ressources du net, des dinosaures très, très souvent. A chaque question je recherche une réponse avec les termes les plus exactes possibles.
Son vocabulaire se construit, se multiplie, se peaufine.

Je reprends aussi la préparation motrice à l'acte d'écrire.

La motricité fine des doigts, évaluée par l'éducation scolaire comme faible, est pourtant la base de nombreuses activités demandées par le lutin. Des puzzles (emboitement avec poignets de préhension ou sans), des gommettes (oui, oui beaucoup sur les livres d'art mais bon c'est lui qui va les chercher), des laçages mais aussi énormément d'enfilages de perles.

Plus ciblées encore, les activités ne sont pas si foison à la maison.
Le lutin réclame de plus en plus les livres d'activités Balthazar sur les lettres, « Balthazar et les lettres à toucher » de Marie-Hélène PLACE et illustré par Caroline FONTAINE-RIQUIER (abécédaire en cursive) et « L’Abécédaire imaginaire de Balthazar » de Marie-Hélène PLACE et illustré par Caroline FONTAINE-RIQUIER (abécédaire en majuscules) mais comme histoire du soir... il reprend ces lettres rugueuses, les trace, les redemande. Le livre se veut alors "lu" et "touché" de la première page/lettre à la dernière. Et c'est aussi souvent que "L'extraordinaire abécédaire de Balthazar"de Caroline FONTAINE-RIQUIER et illustré par Marie-Hélène PLACE arrive le soir.
Mais n'en fait pas une activité de jour... Les lettres rugueuses achetées pour restent vierge de tous frôlement des doigts. Est-ce aussi parce que la police cursive tracée par le commerçant est assez anguleuse ?
Et puis, il y a aussi cette non-adéquation avec l'école. L'école commence par l'alphabet en majuscules, quand la pédagogie MONTESSORI commence par le cursif. Alors, pour suivre sa progression nous commençons par l'abécédaire en majuscule mais les lettres rugueuses du commerce ne le sont pas. Ensuite l'école apprend aussi beaucoup le nom des lettres et l'alphabet tandis que nous abordons les lettres de manières phonétiques.
Le petit d'homme est par contre toujours assez réticent aux formes géométriques en encastrement de fer. Il les a pris, en a fait une vingtaine, 4 ou 5 à chaque fois, et puis ce fut fini.
Alors je ne lui ai pas encore créer cet alphabet mobile dont il aura sûrement envie plus tard.
Il a eu 4 ans il y a un peu plus d'un mois. Son intérêt pour les lettres est encore petit, influencé par l'école et les copains, avec une envie forte orale de trouver les lettres inclues dans les prénoms de ses amis mais sans continuité.
Je patiente... et vais faire l'alphabet mobile en attendant.

samedi 20 novembre 2010

Un samedi toute seule, pour l'intellect, la vue et les papilles

Non mais je ne vais pas me laisser abattre.
Ce n'est pas parce que les hommes sont partis sans moi chez les beaux-parents et que je reste seule avec mon angine blanche qu'il me faut perdre toute contenance. Une petite gorge qui ne me fait quasiment pas mal, sauf le matin au réveil et dès que le soleil se couche... mais pas de cause à effet bien-sûr.
J'adore que le soleil se couche, aussi, et puis les lumières ou illuminations vont arriver ainsi que les fenêtres sur les intérieurs des gens... j'aime assez regarder la couleur des murs, le choix des luminaires, les tableaux exposés... j'aime d'ailleurs beaucoup les fenêtres du nord de l'Europe, "ouvertes" aux regards avec décoration pour nous, passants, comme un détail ici au Luxembourg.

Alors je débarrasse un peu la table... sans jamais y arriver complètement, toujours une pile de livres (à lire, à billetter, à consulter), un autre spécimen plus consultable parce que j'y reviens... d'ailleurs je suis en retard sur ce tome de "La pédagogie scientifique, La maison des enfants" de Maria MONTESSORI. Il est spécifique aux 3/6 ans et le loupiot a 4 ans... allez je m'y recolle surtout qu'une petite scie dinosaure (oui, oui, c'est son nom) a élue domicile à la maison (oh moins je cogiterais moins sur la scie à chantourner). La "petite dinosaure" sera merveilleuse j'en suis sûr pour fabriquer l'alphabet mobile Montessori maison, entre autre...
Un thé froid, infusé à chaud, qui perdure depuis le matin, parce qu'il suffit que je parte tôt pour ne pas finir ma tasse bien chaude. Mais j'aime aussi ce thé froid, tellement différent de l'infusion chaude. J'aime aussi ces bords de tasse qui se tachent de tanin comme une mesure de ma consommation journalière. Oui, si la porcelaine est craquelée, la couleur thé reste mais ce n'est pas bien grave. J'aime prendre une gorgée de thé froid et alterner avec de belles tasses ou zhongs de thé chaud, plus dégustés d'ailleurs! Allez je finis mon pu'er de 4 ans!
Un bouquet de tournesols que j'adore comme bon nombre de bouquets d'ailleurs. Des fleurs sensibles au soleil mais qui ne tournent pas la tête face à lui comme le veut la croyance... des fleurs rappelant leurs compères agricoles dont le cœur était égrainé par les mains des enfants cet été.
Et une dégustation de chocolats noirs à 75% de différentes origines des Tropiques de chez François Pralus... allez Sao Tomé et Tanzanie... pas de papilles trop expérimentées: juste croquer le chocolat, le mâcher, le délier sur la totalité de la langue, le laisser fondre... et je préfère le Sao Tomé. Allez savoir pourquoi!