"Il faut acquérir la confiance. Un pas doit être franchi. La tâche s'avère plus aisée avec quelqu'un pour vous guider. On commencera par apprendre à reconnaître quelques végétaux faciles à identifier et impossibles à confondre avec d'autres. Le meilleur exemple en est sans doute l'ortie: elle pique dès qu'on la touche. Le contact est désagréable, certes, mais se révèle un moyen efficace de ne pas se tromper, même en pleine nuit et par temps de brouillard. " (extrait de "La nature nous sauvera" de François COUPLAN)
Chaque fois que je retrouve ma maman, je déguste encore les récoltes de cueillette, de juste au bas de l'escalier de la maison aux bordures de mer. Les essais sont quelque fois âpres, durs et déstabilisants mais mes petits pas se font pour me familiariser avec des plantes sauvages comestibles. Plantain, myrtilles, onagre, nombril de vénus, griffe de sorcière, grande consoude, pissenlit, bourrache, yucca, ortie, fleurs de robiniers et suc de chèvrefeuille bien-sûr depuis des années, mais aussi cette fois-ci pétales de goyavier, feijoa (entre le litchi et les fruits compotés), un délice doux à s'offrir comme une gourmandise d'enfant, allez donc lire ici sur ce pétale, ne jus par exemple.
C'est le premier pas: cueillir avec quelqu'un, prendre note, les savourer et savoir se les approprier.
Je ne connais pas encore ma gamme de plantes sauvages mais j'apprécie démarrer ainsi... Les livres se succèdent aussi pour me familiariser, pour y arriver mais l'exercice me semble difficile: seuls quelques plantes me sont familière grâce aux livres, la jeune feuille de tilleul (parce que ce n'était pas dur de trouver l'arbre bien connu depuis mon enfance) , les griffes de sorcière, la criste maritime et les nombrils de vénus. Et même si je lis avec assez d'assiduité les blogs de cueilleurs/glaneurs que vous retrouverez dans la colonne de gauche en bas de mon blog culinaire en particulier celui de Colibri et celui de CitronVert.
Un approche grâce à la passion d'autres... et puis après j'espère des cueillettes régulières, guidées... et non guidées. Et puis une leçon par coeur des plantes toxiques avant de reprendre par le début et un peu de botanique... à suivre (les débuts sont repris là).
C'est le premier pas: cueillir avec quelqu'un, prendre note, les savourer et savoir se les approprier.
Je ne connais pas encore ma gamme de plantes sauvages mais j'apprécie démarrer ainsi... Les livres se succèdent aussi pour me familiariser, pour y arriver mais l'exercice me semble difficile: seuls quelques plantes me sont familière grâce aux livres, la jeune feuille de tilleul (parce que ce n'était pas dur de trouver l'arbre bien connu depuis mon enfance) , les griffes de sorcière, la criste maritime et les nombrils de vénus. Et même si je lis avec assez d'assiduité les blogs de cueilleurs/glaneurs que vous retrouverez dans la colonne de gauche en bas de mon blog culinaire en particulier celui de Colibri et celui de CitronVert.
Un approche grâce à la passion d'autres... et puis après j'espère des cueillettes régulières, guidées... et non guidées. Et puis une leçon par coeur des plantes toxiques avant de reprendre par le début et un peu de botanique... à suivre (les débuts sont repris là).
2 commentaires:
Coucou Vanessa, je pensais justement à toi, car je suis en train de peaufiner la transformation de mon blog "sauvages" en livre, dans la perspective de servir des lecteurs comme toi désireux de découvrir... J'aimerais tellement avoir du "temps de vacance", dont tu parles dans ton précédent billet, du temps pour me faire plaisir en somme, je pourrais m'y consacrer sérieusement, et cela me passionnerait beaucoup plus que ces révisions d'ORL dont plus personne n'a cure actuellement, ou encore de travailler gratis pro deo pour Oli qui est nul en gestion administrative de son cabinet ou de notre maison !!! Le problème, c'est que, travaillant à la maison, je culpabilise tout le temps de faire des choses pour moi plutôt que de m'occuper des autres... Merci pour le lien.
Colibri: j'ai ce luxe de n'avoir pas été obligée de reprendre un travail tout de suite après les deux années consacrées au lutin; luxe que je paye le prix fort souvent aussi. Je comprends que ce temps te manque moi je désespère de ne pas aller assez vite pour arriver à terme (mais à quel terme d'ailleurs). Je suis ravie de penser à une tournure papier et à tous tes partages, merci encore
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