vendredi 30 novembre 2007

Cabane piège?

Avez-vous déjà ressenti ce malaise d’être attiré et en même temps sur la défensive avant de rentrer dans une maison ?

Pour moi la cabane représente une petite maisonnette, façonnée avec des matériaux plus fragiles, une construction plus précaire (éphémère) ou au sens plus large les petites maisons proposées dans les contes pour enfants…
Certaines maisonnettes m’ont semblé n’être pas ce qu’elles laissent entrevoir. Ce ne sont quelques fois que des duperies :
Que dire de la maison où Alice (des pays des merveilles de Lewis CARROLL) devient si grande que ses jambes traversent les murs, sa tête le plafond et le toit. Quel manque de sécurité !
*source livre animé de Robert SABUDA

Ou la maison de la sorcière pour Hansel et Gretel des frères GRIMM : des friandises pour attirer dans l’antre d’une dévoreuse d’enfants !

*source illustration Anton Pieck
Est-ce la sécurité que nous recherchons dans les cabanes ? Un nouveau cocon ? Alors que dire de cette maison friable de la sorcière, faite de bonbons, de sucre, que l’on peut croquer à pleine dents !
La maison en pain d’épices ressemble étrangement pour moi au ventre maternel : revenir au chaud, là où la nourriture viendra à profusion…une friandise d’amour, du sucré, de la douceur au palais

*source illustration

et comme des massages (une empreinte chaude du foyer de la maison contre le froid de la forêt)…de la chaleur au corps, un retour « peau à peau ». Ne se mettons pas blottis dans nos cabanes d'enfant, en foetus? Vous aurez compris pourquoi j'ai préféré le lotus allongé, je ne rentre plus nulle part!

*source illustration

J’aime beaucoup cette illustration reprenant juste les personnages. Mais cette femme, soulevant ces jupons, me semble une sorcière plus sincère…les ramener au centre d’elle-même, les faire siens. En allant chercher une autre illustration (elle se mérite!) en cliquant children illustrations/ various illustrations/ la troisième en partant du haut ici , vous comprendrez mieux encore…

Que dire de notre effroi devant les maisons hantées ? N’est-ce pas aussi cette frayeur d’adultes de ne trouver aucune sécurité chez soi, en soi ? Ou les troncs d’arbres qui nous engloutissent, une peur de n’être plus rien physiquement…

J'ai decidé de ne pas me faire avoir par les cabanes trop alléchantes, en en dévorant d'autres...mais celles-ci sont de circonstances:
une Hexenhaus allemande:


recette ici

un Gingerbread britannique ou Pain d'épices alsacien




recette ici

Rappel: le thème des cabanes pour les Passeurs d'imaginaires se finit ce soir, allez bon ce week-end, le petit rappel de nos imaginaires à ce sujet sera pour le début de semaine prochaine.

Petit monstre de poche

Montrer quelques tâtonnements…
Bon allez, pour fêter l’ouverture de la librairie de Lamousmé le 1er décembre (demain !) en Ile de France, je vous montre mon moyen de locomotion :


…vous l’avez reconnu…non ? .. mais c’est le célèbre monstre du Loch Ness. Peter Pan ne vient pas lui-même me chercher, il est occupé ailleurs, Wendy ne peux plus faire ma mère, elle est partie materner une autre personne…alors pour aller au Neverland, Nessy s’est proposé. Merci petit monstre!

Allez Nessy, un petit clin d’œil pour Mi et Lou, leur maman regarde ce blog !

jeudi 29 novembre 2007

Un atelier…un créateur *5*

Le passage dans un atelier de nuit et me voilà repartie dans des souvenirs de palettes de couleurs, d’eau diluée dans des pots de yaourt en verre, de beaux pinceaux à poils sombres, de papiers épais et doux.


Il s’agit là de l’atelier de peinture (ou d’activités manuelles) de ma tante, Marie-Laure S. Espace privilégié avec son propre aménagement (ou désordre), la "cabane" de ma tante est une pièce qu’elle a conquise bec et ongles. J’ai toujours aimé cette pagaille organisée de produits, de tubes de couleurs, de sources d’inspirations.
Un enchevêtrement de matière à dessiner, tout est sous la main, le regard s’arrête toujours sur un objet utile.

C’est la seule, dans cette famille de peintres, amateurs et professionnels, à s’être installée dans la technique de l’aquarelle. Elle vivait entre la Belgique et le Luxembourg et cette technique, mêlant l’eau, diluant les couleurs chaudes, est fondamentalement ancrée en moi comme propice à décrire les paysages de ces régions : des couleurs délavées, des rayons de soleil transperçant le panorama, des ciels bleus/blancs, gris/roses, mais jamais de ce bleu « chaud » des régions très ensoleillées.

Quand je passais chez elle, j’étais ivre de sa technique, de ses astuces et de ses « outils ».
Son papier, tout d’abord. Ce n’était pas les toiles de ma maman, ni ses brouillons de croquis, c’étaient des papiers épais, à la fibre apparente, assez spongieux pour récolter l’eau, pour aider les lavis et la peinture « au frais ».

Des bocaux d’eau ensuite. Son eau propre au départ, prenant la teinte de sa peinture. J’aimais énormément suivre la diffusion de ce pigment dans l’eau clair et trouble ensuite. Il lui arrivait de changer l’eau (ou d’avoir deux pots d’eau, je ne sais plus) entre les couleurs pastels et les sombres. J’étais alors loin de la technique maternelle : chaud et froid.
Ses petits paquets d’aquarelles aussi : de petits cadeaux de couleurs ! J’ai toujours été plus émerveillée par ces tout petits carrés denses, durs, de couleurs…des coquillages à ne pas lécher (souvenir d’une confiserie d’enfant !). La couleur n’était pas celle du résultat rien qu’en enlevant le papier. Un tube propose sa couleur brut, à mélanger oui, mais quelque chose de visuel très rapidement. Le petit paquet, lui, devait être caressé par le pinceau pour laisser filer sa couleur.
Les palettes ensuite, bien différentes de celles utilisées en huile, proposaient des nuances douces.
Et sa technique alors. Et bien simplement et magiquement celle de l’aquarelle : des coups de pinceaux visibles, des blancs non vide, des effets garantis de lumière, des surprises dues à l’eau, des petits grains de sel laissés ici et là, de la mie de pain, et une pâte pour délimiter ce qui ne devait pas être pris par la couleur, une sorte de dentelle de diffusion de la couleur et de l’eau…

Après elle s’est tournée vers d’autres techniques et d’autres loisirs créatifs. L’huile et l’acrylique ont trouvé leur place.

Les tissus de patchwork, de peluche aussi : des dessus de lit, des ours en peluche,
des tableaux de découpe, collage…et des carnets de voyage.
Je n’ai pas beaucoup de ses peintures en photo, livre ou tableaux à la maison, je ne vous propose alors que quelques pages de son carnet de plage, fait dans la ville de nos vacances dernières.



Elle a eu aussi sa période animalière : les chevaux, les chats ou gros félins (avec ou sans crêpe bretonnes à lécher !)…


Au fait, vous avez compris mon bonheur : j’ai des tableaux authentiques chez moi, quelques miens, quelques uns de ma maman, d’autres de cette tante…d’autres de peintres plus ou moins connus…il me manque quelques uns de mon père (qui peignait aussi avant de partir), de mon grand-père maternel et un de ma grand-mère maternel (sa statue africaine !). Et j’ai quelques portraits de moi (je compte un jour sur le plaisir d'être le modèle d'Anh…)…des prochains billets en perspective…sans compter l'atelier de ma maman...

mercredi 28 novembre 2007

Anniversaire ***

Voilà, cela fait quelques années que tu es un adulte…et tu nous confirmes être un homme. J’ai pris beaucoup de plaisir à te suivre physiquement dans tes "démonstrations" professionnelles et à voir ta nouvelle image médiatique…C’est une nouvelle porte que tu ouvres, en tout, ces derniers temps : une carrière un peu moins fébrile et en sauts de puce mais plus assurée et rentable, une relation amoureuse assumée et soutenante, des partis pris d’homme et des positions face à ton enfance responsabilisées (même si …)




Joyeux anniversaire petit frère,

Devrais-je dire Tetsuo, Akira ou pour la dernière fois (parce que à 24 ans ça suffit !) mon petit chou à la crème enrobé de chocolat surmonté d’une cerise confite

Te rappelles-tu les BD…


voici un extrait (en plus j’adore la musique)…






En prenant dans mes bras mon fils, je me remémore tes jeunes années…j’ai pris énormément de plaisir à te voir grandir, à m’occuper de toi (même si cette charge était quelques fois pesante !). J’ai des souvenirs plein la tête de ton enfance,

première vraie peluche....

sucrerie et auto-censure
Bibi,

dans mon antre...

et après...

ciné, grasse mat', musique, film, petits plats pour te faire plaisir (tu as vu l'ombre d'Elora près de la fenêtre!)

...je te voulais heureux, plein de vie, le moins possible déboussolé par les relations hors-norme de tes parents. …J’ai pris soin de toi du mieux que je pouvais…et dire que maintenant c’est toi qui te fais du souci pour moi. Ne t’inquiète pas, tout va bien, je ne me sens pas le moins du monde laissée pour compte.

Juste pour te dire que je suis très heureuse de faire encore partie intégrante de ta vie d’homme.


Rajout du 22/10/2010: juste pour avoir la musique d'AKIRA de Shoji Yamashiro...


Akira bike 1
envoyé par bangayo. - Regardez des web séries et des films.

mardi 27 novembre 2007

Saha

Notre chatte a déprimé avec l’arrivée du petit loup, elle ne voulait plus s’alimenter et ne mangeait que par petites doses en buvant mon thé … Nous reprenons nos échanges, modérés, plein de retenus comme elle les aime. Je l’encourage à se blottir la tête dans ma main, à rechercher les caresses utiles (derrière l’oreille, sous le menton)…elle ronronne à nouveau (devrais-je dire plus qu’avant ma grossesse) mais pleure toujours. En passant chez ma maman, j’ai retrouvé ce livre d’école : « La chatte » de Colette.


Je l’avais beaucoup aimé et ayant toujours eu des chats avec moi (et de tempérament fort), j’ai eu envie de le relire. J’avais pris beaucoup de plaisir (intellectuel plus que sensuel) à lire « Je suis un chat » de Natsume SOSEKI où les attitudes félines étaient très bien campées , là je me suis laissé prendre par des sentiments plus charnels, peut-être comme lors de ma première lecture, adolescente.

Ce couple pris dans les filets d’une jeune liaison, d’un jeune mariage, se désintègre sous nos yeux. L’héroïne est la chatte du fiancé, Saha, petite femelle achetée par le jeune homme 3 ans plus tôt. Cette chartreuse, par sa noblesse de félin, son allure altière, semble effacer tout le charme de la fiancée. Alain, le jeune mari, est encore au début de sa vie, dans les relations sans concession, intenses, sans limite. Il n’est pas prêt à ménager une place à la nouvelle venue, sa femme.
La jalousie féminine, les comportements princiers des chats et l’inconstance amoureuse du jeune homme sont tellement bien décrits. Ce dernier ne souhaite que cet animal, si entier, si possessif, comme si Saha faisait partie de lui-même : cette part de liberté, de bohème, de despotisme du jardin doivent le tenter. L’animal, petit tyran, petite maîtresse, est sous son charme ou sous sa protection : « Il caressa à tâtons la longue échine plus douce qu’un pelage de lièvre, rencontra sous sa main les petites narines fraiches, dilatées par le ronronnement actif. « C’est ma chatte…Ma chatte à moi ! » - Me-rrouin, disait la chatte. R…rrouin… »
L’homme est dans le cynisme, le dédain des comportements humains. Il est dans la perpétuelle attente d’une séduction réussie, insatisfait par la beauté changeante de sa femme, plus enclin par les escapades marquant le pelage de Saha : des effluves de plantes, du poil plein de pétales, des narines plus ou moins retroussées et fraiches de ce félin chasseur, tout de suite amadoué. « Sans malice profonde, elle ne se doutait pas que, dupe à demi des défis intéressés, des pathétiques appels et même d’un frais cynisme polynésien, Alain possédait sa femme chaque fois pour la dernière fois. Il se rendait maître d’elle (..) » en se défilant, en amenant son absence…
Les attitudes enfantines de ce jeune homme avec sa mère sont aussi saisissantes : un homme pas encore sorti de l’enfance, encore dans la demande de satisfaction immédiate de ses désirs !
La scène du duel entre la femme et la chatte est mémorable…la plante des pattes entre les coussinets pleine de sueur marquant de fleurs le sol reste un détail frappant.


« Il parlait à la chatte qui, l’œil vide et doré, atteint par l’odeur démesurée des héliotropes, entrouvrait la bouche, et manifestait la nauséeuse extase du fauve soumis aux parfums outranciers..
Elle goûta une herbe pour se remettre, écouta les voix, se frotta le museau aux dures brindilles des troènes taillés. Mais elle ne se livra à aucune exubérance, nulle gaité irresponsable, et elle marche noblement sous le petit nimbe d’argent qui l’enserrait de toutes parts. »

Et que dire de ce fauve se promenant nonchalemment dans son domaine géographique et relationel.


En espérant faire plaisir à Lily, admiratrice de cette auteure, Katell et ses yeux de chat et Bellesahi et ses félins.

La Fille du Consul : mystère entier

Je voulais tant faire quelque chose de mes mains pour son concours … et je n’y arrive pas ! Alors voilà mes mots, en utilisant les images des autres (tous les bijoux étant de la créatrice elle-même !).
"La Fille du Consul" et ses créations m’évoquent les voyages. Comme si, de part ses promenades rurales ou urbaines, elle ramenait le détail qui englobe tout ! Le nom m’évoque des ailleurs, des contrées éloignées, des paradis perdus…un certain à propos là où nous ne serions que des étrangers.

*source illustration

En m’approchant, j’ai l’impression d’un cabinet de curiosité végétal ouvert aux initiés. Des objets posés en situation, des impressions d’histoire naturelle mais amenant l’imagination.


*source photo

Des herbiers vivants :
une odeur de sous-bois, d’humus,


*source photo

une bruine sur le visage,


un givre sur les joues,

*source photo

du vent dans les cheveux


un goût d’eau de mer

Après la promenade les pauses gourmandes rappellent l’enfance : des douceurs sucrées d’adulte,

des pains d’épices en forme de « goutez-moi » d’enfant


Cela me laisse une impression de piste en forêt imaginaire, une déambulation de funambule d’empreintes animales ou végétales vers des mondes plus sublimés.



Ses croquis me donnent l’eau à la bouche et du baume au cœur...

Si vous souhaitez participer au concours (jusqu’au 23 décembre) c’est
ici et les participations sont .

Moi j’ai craqué pour un
mendiant , une branche de gui …je ne dirais pas non au précoce printemps , à un fruit voyageur ou à un muscaris entre autre....

Ki, unification du corps et de l’esprit et méthode pour dormir

De passage chez ma maman, j’essaye à chaque fois de reprendre quelques lectures « engagées » : ma maman ayant participé à un stage de 2 ans en iokai shiatsu en Suisse, il reste quelques livres que je ne compte pas acheter mais qui m’interpellent.

« Le livre du Ki, l’unification du corps et de l’esprit dans la vie quotidienne » de Koichi TOHEI en fait parti.


N’hésitez pas à revenir sur les billets consacrés à un autre maître japonais Shizuto MASUNAGA : sa respiration en ballon et ses exercices de Makko-oh pour aussi unifier le corps et l’esprit (ces exercices sont assez communs aux deux sages !).



Koichi TOHEI, maître d'Aïkido , souhaite nous aider à réunifier le corps et l’esprit. Il met l’accent sur le Ki : « Chacun de nous doit s’empoigner lui-même maintenant, pour connaître sa vraie nature et sa vraie force. Le Saikontan [spiritualité] chinois classique dit que nous sommes comme des mendiants devant le portail, oubliant le pouvoir infini qui nous est donné par l’univers. »
J’avais fait de l’aïkido dans un temps ancien, en y prenant énormément de plaisir mais, en fait, je n’avais rien compris à ce sport (de corps et d’esprit). Maintenant que cette pratique m’est rendue difficile je reprends la théorie et la pratique individuelle. Dans ce sens, les apports de Koichi TOHEI sont importants.


La notion de Ki tout d’abord. Ce flux d’énergie, pour ce maître, est comme de l’eau de l’océan dans nos mains : c’est notre eau et pourtant c’est aussi l’eau de l’océan et à fortiori l’eau qui revient à la terre et à l’univers. « Le « développement du Ki » est un pont entre la psychologie, qui concerne exclusivement l’esprit, et l’éducation physique, qui s’occupe uniquement du corps. » Pour vous faire une idée plus précise c’est ici .
Il faut être persuadé de son existence mais aussi l’étendre, notre Ki est celui de l’univers. Même si nous sommes le centre du monde, la sphère, dont le centre est sous notre nombril, est infinie, la moitié gauche n’est pas plus infinie que la droite…alors il est nécessaire de se positionner comme étant un dans l’univers (notre énergie fait partie de l’énergie vitale de l’univers)…principe assez dur pour moi !
Il reste aussi à le réduire infiniment. Il est souvent convenu de ce principe de respiration : se centrer sur un point au dessous du nombril : il est alors préconiser d’imaginer une sphère dont le centre serait ce point et de la réduire encore et encore jamais jusqu’à son extinction mais jusqu’à ce qu’elle soit comme une ondulation infime.
Enfin il faut utiliser positivement son esprit : « Penser négativement ne vaut pas mieux que ne pas penser du tout. »

Comme MASUNAGA, TOHEI propose sa méthode pour unifier le corps et l’esprit en 4 principes fondamentaux, avant il faut se rappeler que « Tout le monde reconnaît l’énorme différence qu’il y a entre la séparation de l’esprit et du corps et la coordination de l’esprit et du corps ». Le but est de calmer son esprit comme une onde, calmée de moitié indéfiniment, mais sans jamais l’arrêter…
1/ Se concentrer sur un seul point : un principe fondamentale du zen est « étendez la colonne vertébrale, placez votre nez et votre nombril sur la même ligne, alignez vos oreilles avec vos épaules et asseyez vous (…) ». La différence de taille que met TOHEI est de se concentrer sur le bas de l’abdomen (« troisième œil » ou tentei en japonais) et non de placer sa force à ce niveau.
2/ Se détendre complètement : il est nécessaire de se départir de l’idée qu’il s’agit d’un état faible et plaisant et reconsidérer qu’il s’agit au contraire d’un état fort, aguerri, conscient, prêt à toutes les potentialités et dangers.
3/ Maintenir le poids en dessous : toujours considéré que notre centre de gravité est bas, si nous ne voulons pas que notre bras soit bougé, il est nécessaire de penser qu’il est lourd et que son poids est bien en dessous de lui….
4/ Etendre le KI : pour bloquer les doigts de sa main à toute force extérieur, imaginer le Ki comme une énergie sortant de nos doigts à l’infini…

Il a mis en avant une méthode pour s’endormir que je voulais vous laisser là, en cherchant un peu je l’ai trouvée complète sur le site de cet osthéopathe alors n’hésitez pas à suivre ses 5 étapes : ne pas essayez de dormir, occupez votre temps d’éveil, allongez-vous sur le dos, imaginez le sang arriver progressivement jusqu’à vos orteils et prenez conscience de vos orteils de plus en plus chauds.

Pour aller plus loin et avoir des renseignements plus pertinents sur ce maître vous pouvez lire ce texte mis en avant par un aïkidoka. Je vous ferez prochainement un billet sur sa méthode pour devenir plus fort et sur la pratique du kiatsu, fondée par TOHEI.

Edit du 09/03/08: je parle du Ki aussi en peinture et expliqué aux enfants avec l'application aux points de la voute plantaire ici.

Je parle de rendre plus fort le ki grâce au kiatsu .

lundi 26 novembre 2007

Maman reprenant son souffle

Laissé avec sa grand-mère et son arrière grand-mère maternelles dans les grands moments de la journée...pour respirer.
Il était dans ses pensées et bien loin de nous...




aujourd'hui il est là, très près...


il me manquait....