mardi 8 mai 2018

Monstres asiatiques au détour d'une promenade dans la capitale

Revenir vers la grande, prendre du jazz dans les oreilles avec une version Duke ELLINGTON(ienne) de Mary Poppins (cf plus bas).


Puis prendre le chemin des pavés au bord de la Seine, slalomer entre les touristes venus voir la dame de fer, continuer un peu... 
se perdre avec beaucoup de monde dans le musée, "Enfers et fantômes d'Asie" au Musée du quai Branly.


Se faire quelques frayeurs, admirer les peintures, les masques, les marionnettes, aimer moins les films et les mannequins pour ces films. Découvrir le bouddhisme sous ses représentations.


.... prendre trop peu de photos parce que pas de batterie au téléphone (bah oui visite non prévue).
ici d'autres photos de l'exposition.
 
Repartir en grimpant aux arbres ou en choisissant les escaliers juste à côté. Oui presque, le mur escalier et rentrer chez soi.


Et se dire que la bibliothèque des monstres japonais s'agrandit.


Je n'ai pas pris le livre de l'exposition parce que je comptais bien acheter le "Yokai, fantastique art japonais" de Brigitte KOYAMA-RICHARD et que le premier n'offrait de plus que les monstres et fantomes des autres pays (qui m'intéressent moins pour l'instant) avec une très grande part offerte au cinéma de genre (dont je ne suis ni experte, ni adepte). Il me manque toujours énormément en sortant d'une exposition. J'espère le retrouver dans le cahier de l'expo et non! Pas de détail point par point, ou si peu. Mais pas déçue par le second...
 

Une présentation douce avec "Yokai, le monde étrange des monstres japonais" de Fleur DAUGEY et illustré par Sandrine THOMMEN, acheté il y a peu.


Et nos anciens.
Quelques mangas de Shigeru MIZUKI: des exemplaires de Kitaro le repoussant, un de mon ami le Kappa, le Nononba fabuleux et ici son "Dictionnaire des Yokai".
Ici de simples papillons... mais cela fait peur... (et parce que je suis si déçue de ne pas avoir pris en photo la vitrine avec les insectes de l'expo). 

Rajout de la nuit: les voilà pris par un autre, juste au dessous de ces masque-ci pris par encore un autre...


La manga originelle de Katsushika HOKUSAI, quelques pages tout du moins.


Le livre concernant l'oeuvre d'Utagawa KUNIYOSHI


Une certaine fascination comme j'aurais pu l'avoir pour les créatures de Jérôme BOSCH, l'hybride et le monstrueux, bouddhisme et non chrétienté...
Se dire que je vous en reparlerais, c'est sûr!

***
Jazzy Poppins lors de l'émission "la 42e rue" de France Inter.




jeudi 3 mai 2018

Langues morte et vivante

De quoi titiller l'envie du lutin en latin.


Une relecture extra-rapide de "Minimus" de Barbara Bell, tome 1: juste la petite histoire en bande dessinée, le focus grammatical et l'exercice étymologique (Rhha ma prise de note - sur la photo- : étymologie sans le h)... mais pas le reportage sur la vie romaine, ni l'histoire mythologique. Je vous en parlais ici et .
Et ceci avec des supports grammaticaux plus synthétiques (avec symboles Montessori, parce que décidément, cela lui parle beaucoup mieux).


Nous pratiquerons aussi le second tome, "Minimus Secundus".
Cette fois, tout est prêt: mes traductions même de l'anglais de base (parce que certaines fois, dans le vif de la lecture, je perd le fil - et parce que cette méthode en deux tomes, faite pour les enfants de 7 à 11 ans environ, est en anglais). J'ai aussi lu en amont les reportages et les légendes.
Et là aussi, je prépare des supports visuels clairs pour les notions en grammaire.

Je tenterais de tout mettre au propre.

***
Et quelques dessins à la va-vite pour les adjectifs des émotions et de la maladie, en allemand.


Des émoticônes allemands... parce que décidément, là aussi, cela passe mieux qu'une multitude de dessins explicatifs.


Attention, les Minimus coûtent aux alentours de 20 euros maxi.