J’étais dans un processus de bénévolat au sein de l’école maternelle de notre lutin. J’avais créé des ateliers pour 3 sessions de 2 vendredis : un programme de jeux coopératifs. Je n’ai pu animer qu’une session, je prenais mes marques, je me sentais bien, j’allais même vers une certaine reconnaissance et puis…. Vlan, un fémur cassé et tout est à l’eau. J’avais juste compris l’intérêt de ces jeux. Comme un hasard, en suivant mes lectures du moment, j’avais prévu un atelier pile dans mes convictions.
J’étais partie du principe qu’il me fallait préparer tout, ne laisser au hasard que mon adaptation aux enfants présents. Le reste était noté point par point. 1h30 multiplié par 2 à partager entre différents jeux coopératifs, avec une transition, une histoire amenant les uns après les autres et une alternance de jeux de concentration et de jeux dynamiques. L’âge des bouts de choux a limité la part de langage.
J’étais partie du principe qu’il me fallait préparer tout, ne laisser au hasard que mon adaptation aux enfants présents. Le reste était noté point par point. 1h30 multiplié par 2 à partager entre différents jeux coopératifs, avec une transition, une histoire amenant les uns après les autres et une alternance de jeux de concentration et de jeux dynamiques. L’âge des bouts de choux a limité la part de langage.
Jeu par jeu : le titre, le matériel nécessaire, l’état de l’enfant (en mouvement, statique, concentration etc), la consigne et la phrase de début. Le passage d’un tunnel comme transition active, physiquement ressentie.
Mes repères arrivaient, les consignes étaient plus précises, ne permettant à aucun enfant d’être mis sur la touche parce que plus lent. Je commençais par une crise de rire avec une présentation très approfondie (et un nom secret très « hilarant » pour un petiot de 4/6 ans) et j’allais vers des jeux où, de plus en plus, ils auraient besoin de se toucher sans les y obliger. Avec un drap, des ballons (baudruche et plein), un instrument de musique, un tapis et des chaises, je voyais se délier les visages, les sourires poindrent, les contacts plus fréquents, la question « qui a gagné ? » moins fréquente.
Mes repères arrivaient, les consignes étaient plus précises, ne permettant à aucun enfant d’être mis sur la touche parce que plus lent. Je commençais par une crise de rire avec une présentation très approfondie (et un nom secret très « hilarant » pour un petiot de 4/6 ans) et j’allais vers des jeux où, de plus en plus, ils auraient besoin de se toucher sans les y obliger. Avec un drap, des ballons (baudruche et plein), un instrument de musique, un tapis et des chaises, je voyais se délier les visages, les sourires poindrent, les contacts plus fréquents, la question « qui a gagné ? » moins fréquente.
J’ai adoré les voir fabriquer leur pyramide humaine pour la version coopérative des chaises musicales. J’ai aimé leur parcours avec le ballon de baudruche sur le ventre comme des manchots empereurs, j’ai aimé l’escargot à désembobiner de l’intérieur, ce tapis volant à amadouer, cette mer houleuse, cette maison chaude et chaleureuse. Ce banc comme parcours des enfants d’un côté et de l’autre en même temps. Ils riaient et d’autres enfants attirés par ce bruit venaient nous regarder et se joindrent au dernier jeu de l’atelier.
Une quinzaine de jeux, chacun comme une étape dans la relation au groupe, dans la prise de confiance individuelle et collective.
J’ai aimé…
Ici et là vous trouvez d’autres projets au sein des écoles. Suivent des liens pour trouver vos jeux coopératifs sans matériel ou jeux industriels, en fonction des objectifs à atteindre, en fonction des étapes etc… :
1, 2, 3, 4 (très, très nombreux!), 5 (très bon aussi en fonction des objectifs).
Et ici des sites de jeux coopératifs vendus dans le commerce :
1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
A vous de vous faire une idée avec tous les intérêts du coopératif ludique là, là et là. Sans oublier bien-sûr que selon l’âge la coopération est différente.
Une quinzaine de jeux, chacun comme une étape dans la relation au groupe, dans la prise de confiance individuelle et collective.
J’ai aimé…
Ici et là vous trouvez d’autres projets au sein des écoles. Suivent des liens pour trouver vos jeux coopératifs sans matériel ou jeux industriels, en fonction des objectifs à atteindre, en fonction des étapes etc… :
1, 2, 3, 4 (très, très nombreux!), 5 (très bon aussi en fonction des objectifs).
Et ici des sites de jeux coopératifs vendus dans le commerce :
1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
A vous de vous faire une idée avec tous les intérêts du coopératif ludique là, là et là. Sans oublier bien-sûr que selon l’âge la coopération est différente.
2 commentaires:
Très intéressant cet article, je file lire les liens de suite !
Merci
MPN: bienvenue entre mes billets! de rien, c'est juste du débroussaillage de pistes coopératives.
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