Cela revient de plus en plus souvent. Cela nous détend (euh avant de nous énerver parce que le résultat ne correspond pas à nos attentes) puis nous donne, tout de même, l'impression du devoir accompli.
Des défis dessin.
Pour que le lutin malaxe la pulpe de l'index et du pouce, rende léger l'hypothénar... se faire encore et encore les mains aux gestes, l'oeil aux formes, détails et proportions. Peut-être aussi pour qu'il entretienne un enthousiasme et se crée un style.
Pour que tous mes moments de dessin ne soient pas enfouis dans des moments de survie, pour s'échapper de l'ombre du premier amour, confirmer ma personnalité, me dire que je suis rouillée sans style mais que je peux encore jouer avec...
Des dessins selon... copier, copier, copier, encore et encore pour prendre de l'assurance...
Un premier parce que le petit d'homme avait dessiné seul, je devais moi aussi m'y coller...
un second de lui seul parce que décidément cet Anubis est top...
puis selon Jens HARDER...
Zao Dao une fois, puis deux parce que oui, le dessin est mieux.
Puis un de nos héros du moment: un yokaï pour lui avec Kitaro (de MIZUKI auquel nous devons le très bon "Nononba", j'en parle ici), un testostéronné de mon côté de Sean MURPHY (oui, des fois il y a quelques muscles dans mes références masculines, dont ce punk, j'en parle là).
Me dire que franchement j'ai un problème de proportion... par précipitation? J'aurais dû m'arrêter là.
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